Dansune rue de Las Vegas (Nevada), une femme danse au-dessus d'un homme torse nu allongé sur le sol. Mais soudain, la danseuse se lùche un peu trop et fait accidentellement pipi sur le garçon qui n'en demandait pas tant. Rassurez-vous, il
Onpeut citer dans ce groupe les adeptes des couches qui aiment dĂ©celer des couches sous les vĂȘtements des passants dans la rue. On peut Ă©ventuellement rapprocher cela du upskirt, qui consiste Ă photographier les dessous de femmes Ă leur insu, ou Ă les regarder (panchira). Les pratiquants du travestissement regroupent ceux qui aiment porter des vĂȘtements fĂ©minins et
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PubliĂ© le 26 mai 2016 Ă 8h45INSOLITE â Pour faire lâimpasse sur les pauses pipi, une sociĂ©tĂ© britannique vient de dĂ©velopper HeWee Go, un nouveau slip dans lequel il est possible dâuriner tout Ă fait une bien drĂŽle dâinvention. La sociĂ©tĂ© britannique Custom Divers commercialise depuis peuâŠun slip Ă pipi ! Et oui messieurs, vous avez dĂ©sormais la possibilitĂ© dâuriner sans vous dĂ©placer aux toilettes grĂące Ă HeWee Go. DĂ©veloppĂ©s pour les plongeurs en eau profonde, ces "WC portables" pourraient intĂ©resser les personnes incontinentes ou Ă mobilitĂ© rĂ©duite mais aussi celles qui exercent un mĂ©tier oĂč il est difficile de sâabsenter en cas dâenvie pressante. Câest le cas des pilotes, des militaires, des grutiers, des chauffeurs routiers ou encore des enseignants. EN SAVOIR + >> L'incontinence n'est pas une fatalitĂ©Un dispositif tout inclus Comment ça marche ? Le dispositif se compose dâune ceinture et dâune gaine en caoutchouc, prolongĂ©e par un petit tuyau. Une fois la ceinture fixĂ©e autour de la taille, lâhomme insĂšre son pĂ©nis au niveau du tuyau. Ensuite, il nây a plus quâĂ se laisser aller quand lâenvie se fait sentir. Une fois soulagĂ©, il nây a plus quâĂ retirer le sac "indĂ©chirable" et "anti reflux", accrochĂ© contre la cuisse. AprĂšs avoir Ă©tĂ© correctement nettoyĂ©, il peut mĂȘme ĂȘtre rĂ©utilisĂ© une dizaine de fois. Ce slip nouvelle gĂ©nĂ©ration est disponible Ă partir de 115 euros 89 livres sur le site de la marque . Julie BernichanSur lemĂȘme thĂšmeToutTF1 InfoLes + lusDerniĂšre minuteTendanceVoir plus d'actualitĂ©s Voir plus d'actualitĂ©s Voir plus d'actualitĂ©s
FilmĂ©es en train dâuriner dans la rue, plusieurs dizaines de femmes, dont les vidĂ©os volĂ©es ont atterri sur des sites pornographiques, rĂ©clament justice en Espagne aprĂšs le classement de leur plainte mi-mars, a indiquĂ© leur porte-parole Ă lâAFP lundi, prĂ©cisant quâelles ont fait appel de cette dĂ©cision. On ne va pas en rester lĂ tant que ces vidĂ©os continuent Ă gĂ©nĂ©rer de lâargent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il nây a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă lâAFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire dâA Maruxaina, Ă San Cibrao, en Galice nord-ouest de lâEspagne.110 femmes filmĂ©es Ă leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans quâelles le sachent, plus dâune centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors quâelles sâaccroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi quâau total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os dâune durĂ©e totale dâune heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă trois endroits diffĂ©rents ». A lâĂ©tĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de lâintimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars dâouvrir une enquĂȘte, estimant quâaucun dĂ©lit nâavait Ă©tĂ© commis car il sâagit dâune sĂ©rie dâenregistrements de femmes urinant dans la rue, câest-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par nâimporte quelle personne qui passait par là », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par lâ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et nâa pas ouvert dâenquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de lâantenne locale de lâassociation Mujeres En Igualdad » qui sâest portĂ©e partie civile. Mais câĂ©tait dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les Maruxaina On ne va pas en rester lĂ tant que ces vidĂ©os continuent Ă gĂ©nĂ©rer de lâargent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il nây a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă lâAFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire dâA Maruxaina, Ă San Cibrao, en Galice nord-ouest de lâEspagne.110 femmes filmĂ©es Ă leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans quâelles le sachent, plus dâune centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors quâelles sâaccroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi quâau total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os dâune durĂ©e totale dâune heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă trois endroits diffĂ©rents ». A lâĂ©tĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de lâintimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars dâouvrir une enquĂȘte, estimant quâaucun dĂ©lit nâavait Ă©tĂ© commis car il sâagit dâune sĂ©rie dâenregistrements de femmes urinant dans la rue, câest-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par nâimporte quelle personne qui passait par là », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par lâ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et nâa pas ouvert dâenquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de lâantenne locale de lâassociation Mujeres En Igualdad » qui sâest portĂ©e partie civile. Mais câĂ©tait dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ tant que ces vidĂ©os continuent Ă gĂ©nĂ©rer de lâargent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il nây a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă lâAFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire dâA Maruxaina, Ă San Cibrao, en Galice nord-ouest de lâEspagne.110 femmes filmĂ©es Ă leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans quâelles le sachent, plus dâune centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors quâelles sâaccroupissaient pour uriner dans la rue. 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A lâĂ©tĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de lâintimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars dâouvrir une enquĂȘte, estimant quâaucun dĂ©lit nâavait Ă©tĂ© commis car il sâagit dâune sĂ©rie dâenregistrements de femmes urinant dans la rue, câest-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par nâimporte quelle personne qui passait par là », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par lâ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et nâa pas ouvert dâenquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de lâantenne locale de lâassociation Mujeres En Igualdad » qui sâest portĂ©e partie civile. 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A lâĂ©tĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de lâintimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars dâouvrir une enquĂȘte, estimant quâaucun dĂ©lit nâavait Ă©tĂ© commis car il sâagit dâune sĂ©rie dâenregistrements de femmes urinant dans la rue, câest-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par nâimporte quelle personne qui passait par là », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par lâ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et nâa pas ouvert dâenquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de lâantenne locale de lâassociation Mujeres En Igualdad » qui sâest portĂ©e partie civile. Mais câĂ©tait dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ tant que ces vidĂ©os continuent Ă gĂ©nĂ©rer de lâargent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il nây a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă lâAFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire dâA Maruxaina, Ă San Cibrao, en Galice nord-ouest de lâEspagne.110 femmes filmĂ©es Ă leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans quâelles le sachent, plus dâune centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors quâelles sâaccroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi quâau total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os dâune durĂ©e totale dâune heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă trois endroits diffĂ©rents ». A lâĂ©tĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de lâintimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars dâouvrir une enquĂȘte, estimant quâaucun dĂ©lit nâavait Ă©tĂ© commis car il sâagit dâune sĂ©rie dâenregistrements de femmes urinant dans la rue, câest-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par nâimporte quelle personne qui passait par là », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par lâ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et nâa pas ouvert dâenquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de lâantenne locale de lâassociation Mujeres En Igualdad » qui sâest portĂ©e partie civile. Mais câĂ©tait dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ tant que ces vidĂ©os continuent Ă gĂ©nĂ©rer de lâargent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il nây a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă lâAFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire dâA Maruxaina, Ă San Cibrao, en Galice nord-ouest de lâEspagne.110 femmes filmĂ©es Ă leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans quâelles le sachent, plus dâune centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors quâelles sâaccroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi quâau total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os dâune durĂ©e totale dâune heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă trois endroits diffĂ©rents ». A lâĂ©tĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de lâintimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars dâouvrir une enquĂȘte, estimant quâaucun dĂ©lit nâavait Ă©tĂ© commis car il sâagit dâune sĂ©rie dâenregistrements de femmes urinant dans la rue, câest-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par nâimporte quelle personne qui passait par là », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par lâ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et nâa pas ouvert dâenquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de lâantenne locale de lâassociation Mujeres En Igualdad » qui sâest portĂ©e partie civile. Mais câĂ©tait dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ tant que ces vidĂ©os continuent Ă gĂ©nĂ©rer de lâargent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il nây a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă lâAFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire dâA Maruxaina, Ă San Cibrao, en Galice nord-ouest de lâEspagne.110 femmes filmĂ©es Ă leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans quâelles le sachent, plus dâune centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors quâelles sâaccroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi quâau total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os dâune durĂ©e totale dâune heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă trois endroits diffĂ©rents ». A lâĂ©tĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de lâintimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars dâouvrir une enquĂȘte, estimant quâaucun dĂ©lit nâavait Ă©tĂ© commis car il sâagit dâune sĂ©rie dâenregistrements de femmes urinant dans la rue, câest-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par nâimporte quelle personne qui passait par là », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par lâ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et nâa pas ouvert dâenquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de lâantenne locale de lâassociation Mujeres En Igualdad » qui sâest portĂ©e partie civile. Mais câĂ©tait dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices.
femme qui fait pipi dans sa couche