Dansune rue de Las Vegas (Nevada), une femme danse au-dessus d'un homme torse nu allongĂ© sur le sol. Mais soudain, la danseuse se lĂąche un peu trop et fait accidentellement pipi sur le garçon qui n'en demandait pas tant. Rassurez-vous, il Onpeut citer dans ce groupe les adeptes des couches qui aiment dĂ©celer des couches sous les vĂȘtements des passants dans la rue. On peut Ă©ventuellement rapprocher cela du upskirt, qui consiste Ă  photographier les dessous de femmes Ă  leur insu, ou Ă  les regarder (panchira). Les pratiquants du travestissement regroupent ceux qui aiment porter des vĂȘtements fĂ©minins et 26511Annonces les femmes sénégalaise qui fait pipi dans la rue france. Pour les femmes qui font pipi . 41 - Loir-et-Cher > montoire sur le loir. Bonsoir je cherche des femmes de tous t'ages ĂągĂ©s pour faire pipi dans ma bouche pendant Cherche jf pour dĂ©couverte des jeux pipi et uro. 75 - Paris > PARIS 16EME ARRONDISSEMENT. Je suis un jh de 23 ans trĂšs attirĂ© par Vay Tiền Nhanh. Accueil > AlsaceAquitaineAuvergneBasse-NormandieBourgogneBretagneCentreChampagne-ArdenneCorseFranche-ComteHaute-NormandieIle-de-FranceLanguedoc-RoussillonLimousinLorraineMidi-PyreneesNord-Pas-de-CalaisPays-de-la-LoirePicardiePoitou-CharentesProvence-Alpes-Cote-dAzurRhone-AlpesMonacoGuadeloupeMartiniqueGuyaneLa-Reunion 72989 Annonces femme qui aime faire pipi dans sa culotte Cherche femme qui aime faire pipi 06 - Alpes-Maritimes > NICE Bonjour, Bel homme de 33 ans de type europĂ©en. Tout est dans le titre, je recherche une...Mesdames envie de goĂ»ter Ă  votre champagne 57 - Moselle > HAGONDANGE Je rĂȘve de voir une femme faire pipi dans sa culotte ou sans culotte pour que je vous... une femme qui aime se faire lĂ©cher aprĂšs un pipi 57 - Moselle > THIONVILLE Bonjour je recherche une femme tout Ăąge qui aime et oseraie me donner un petit...j'ai besoin de recevoir des fessĂ©es 17 - Charente-Maritime > niort Bonjour J'aime et j'ai besoin de recevoir de vraies fessĂ©es dĂ©culottĂ©es, avec dĂ©culottage...homme che femme 974 - Reunion > ste marie cherche femme pour sorti se caresse se touche et rĂ©alisĂ© un fantasme faire pipi dans sa...Fantasme 49 - Maine-et-Loire > ROUSSAY Bonjour, Je suis Ă  la recherche d'une qui accepterais De faire pipi dans sa culotte tout... €je vends mes petites culottes taches 12 - Aveyron > RODEZ je vends mes culottes,string, guĂȘpiĂšres ,jupe mini jupe ,collants ,bas, et bien plus tout...Grande Chienne Sodomie Ă  Found 33 - Gironde > lormont Bonjour 100 roses // tout compris // 69 fella nature Vagin / anal Éjac bouche ...H cherche culotte sale 974 - Reunion > STE CLOTILDE Bjr h cherche culotte sale porter crade avec odeur dedans pipi ou autre pour 30€pour femme urophile donneuse 66 - PyrĂ©nĂ©es-Orientales > perpignan bonjour mes dame je suis un homme de 59 ans passif j aime je recherche des femmes tout...rencontre en couche culotte dans le 30,34,84 30 - Gard > NIMES bonjour je suis un homme DL j’adore ĂȘtre en couche culotte et culotte plastique,je...Cherche jf pour dĂ©couverte des jeux pipi et uro 75 - Paris > PARIS 16EME ARRONDISSEMENT Je suis un jh de 23 ans trĂšs attirĂ© par toutes les pratiques basĂ©es sur le pipi et...Ma culotte trĂšs sale 75 - Paris > paris 7eme arrondissement Femme mariĂ©e 52 ans, blonde, 1m70, 57 kgs, je vends ma culotte portĂ©e longtemps ou trĂšs...Femme pour mon fantasme 49 - Maine-et-Loire > roussay Bonjour, Je cherche une femme qui rĂ©aliserait mon rĂȘve, De faire pipi sur mon torse a...Grand bĂ©bĂ© cĂ©libataire recherche femme 44 - Loire-Atlantique > NANTES Bonjour je suis un bĂ©bĂ© pissous sur loireatlantique recherche une femme pour m'apprendre... 1 current 23 » Liens sponsorisĂ©sLes cougars prĂšs de chez toi Inscris-toi dĂšs maintenant !Femmes mariees, rencontres adulteres discretes. Annonces par localisation algerieallemagnebelgiquecanadaespagnefranceitalieluxembourgportugalmarocroyaume-unisenegalsuissetunisieAlsaceAquitaineAuvergneBasse-NormandieBourgogneBretagneCentreChampagne-ArdenneCorseFranche-ComteHaute-NormandieIle-de-FranceLanguedoc-RoussillonLimousinLorraineMidi-PyreneesNord-Pas-de-CalaisPays-de-la-LoirePicardiePoitou-CharentesProvence-Alpes-Cote-dAzurRhone-AlpesMonacoGuadeloupeMartiniqueGuyaneLa-Reunion Passer une annonce Gratuitement Acceder a mes annonces DerniĂšres photos RETROUVER une annonce NumĂ©ro PubliĂ© le 26 mai 2016 Ă  8h45INSOLITE – Pour faire l’impasse sur les pauses pipi, une sociĂ©tĂ© britannique vient de dĂ©velopper HeWee Go, un nouveau slip dans lequel il est possible d’uriner tout Ă  fait une bien drĂŽle d’invention. La sociĂ©tĂ© britannique Custom Divers commercialise depuis peu
un slip Ă  pipi ! Et oui messieurs, vous avez dĂ©sormais la possibilitĂ© d’uriner sans vous dĂ©placer aux toilettes grĂące Ă  HeWee Go. DĂ©veloppĂ©s pour les plongeurs en eau profonde, ces "WC portables" pourraient intĂ©resser les personnes incontinentes ou Ă  mobilitĂ© rĂ©duite mais aussi celles qui exercent un mĂ©tier oĂč il est difficile de s’absenter en cas d’envie pressante. C’est le cas des pilotes, des militaires, des grutiers, des chauffeurs routiers ou encore des enseignants. EN SAVOIR + >> L'incontinence n'est pas une fatalitĂ©Un dispositif tout inclus Comment ça marche ? Le dispositif se compose d’une ceinture et d’une gaine en caoutchouc, prolongĂ©e par un petit tuyau. Une fois la ceinture fixĂ©e autour de la taille, l’homme insĂšre son pĂ©nis au niveau du tuyau. Ensuite, il n’y a plus qu’à se laisser aller quand l’envie se fait sentir. Une fois soulagĂ©, il n’y a plus qu’à retirer le sac "indĂ©chirable" et "anti reflux", accrochĂ© contre la cuisse. AprĂšs avoir Ă©tĂ© correctement nettoyĂ©, il peut mĂȘme ĂȘtre rĂ©utilisĂ© une dizaine de fois. Ce slip nouvelle gĂ©nĂ©ration est disponible Ă  partir de 115 euros 89 livres sur le site de la marque . Julie BernichanSur lemĂȘme thĂšmeToutTF1 InfoLes + lusDerniĂšre minuteTendanceVoir plus d'actualitĂ©s Voir plus d'actualitĂ©s Voir plus d'actualitĂ©s FilmĂ©es en train d’uriner dans la rue, plusieurs dizaines de femmes, dont les vidĂ©os volĂ©es ont atterri sur des sites pornographiques, rĂ©clament justice en Espagne aprĂšs le classement de leur plainte mi-mars, a indiquĂ© leur porte-parole Ă  l’AFP lundi, prĂ©cisant qu’elles ont fait appel de cette dĂ©cision. On ne va pas en rester lĂ  tant que ces vidĂ©os continuent Ă  gĂ©nĂ©rer de l’argent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il n’y a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă  l’AFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă  aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire d’A Maruxaina, Ă  San Cibrao, en Galice nord-ouest de l’Espagne.110 femmes filmĂ©es Ă  leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans qu’elles le sachent, plus d’une centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors qu’elles s’accroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi qu’au total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os d’une durĂ©e totale d’une heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă  trois endroits diffĂ©rents ». A l’étĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de l’intimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars d’ouvrir une enquĂȘte, estimant qu’aucun dĂ©lit n’avait Ă©tĂ© commis car il s’agit d’une sĂ©rie d’enregistrements de femmes urinant dans la rue, c’est-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par n’importe quelle personne qui passait par lĂ  », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par l’ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et n’a pas ouvert d’enquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de l’antenne locale de l’association Mujeres En Igualdad » qui s’est portĂ©e partie civile. Mais c’était dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ  par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les Maruxaina On ne va pas en rester lĂ  tant que ces vidĂ©os continuent Ă  gĂ©nĂ©rer de l’argent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il n’y a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă  l’AFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă  aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire d’A Maruxaina, Ă  San Cibrao, en Galice nord-ouest de l’Espagne.110 femmes filmĂ©es Ă  leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans qu’elles le sachent, plus d’une centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors qu’elles s’accroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi qu’au total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os d’une durĂ©e totale d’une heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă  trois endroits diffĂ©rents ». A l’étĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de l’intimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars d’ouvrir une enquĂȘte, estimant qu’aucun dĂ©lit n’avait Ă©tĂ© commis car il s’agit d’une sĂ©rie d’enregistrements de femmes urinant dans la rue, c’est-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par n’importe quelle personne qui passait par lĂ  », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par l’ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et n’a pas ouvert d’enquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de l’antenne locale de l’association Mujeres En Igualdad » qui s’est portĂ©e partie civile. Mais c’était dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ  par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ  tant que ces vidĂ©os continuent Ă  gĂ©nĂ©rer de l’argent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il n’y a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă  l’AFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă  aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire d’A Maruxaina, Ă  San Cibrao, en Galice nord-ouest de l’Espagne.110 femmes filmĂ©es Ă  leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans qu’elles le sachent, plus d’une centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors qu’elles s’accroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi qu’au total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os d’une durĂ©e totale d’une heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă  trois endroits diffĂ©rents ». A l’étĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de l’intimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars d’ouvrir une enquĂȘte, estimant qu’aucun dĂ©lit n’avait Ă©tĂ© commis car il s’agit d’une sĂ©rie d’enregistrements de femmes urinant dans la rue, c’est-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par n’importe quelle personne qui passait par lĂ  », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par l’ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et n’a pas ouvert d’enquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de l’antenne locale de l’association Mujeres En Igualdad » qui s’est portĂ©e partie civile. Mais c’était dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ  par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ  tant que ces vidĂ©os continuent Ă  gĂ©nĂ©rer de l’argent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il n’y a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă  l’AFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă  aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire d’A Maruxaina, Ă  San Cibrao, en Galice nord-ouest de l’Espagne.110 femmes filmĂ©es Ă  leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans qu’elles le sachent, plus d’une centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors qu’elles s’accroupissaient pour uriner dans la rue. 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A l’étĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de l’intimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars d’ouvrir une enquĂȘte, estimant qu’aucun dĂ©lit n’avait Ă©tĂ© commis car il s’agit d’une sĂ©rie d’enregistrements de femmes urinant dans la rue, c’est-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par n’importe quelle personne qui passait par lĂ  », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par l’ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et n’a pas ouvert d’enquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de l’antenne locale de l’association Mujeres En Igualdad » qui s’est portĂ©e partie civile. Mais c’était dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ  par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ  tant que ces vidĂ©os continuent Ă  gĂ©nĂ©rer de l’argent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il n’y a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă  l’AFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă  aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire d’A Maruxaina, Ă  San Cibrao, en Galice nord-ouest de l’Espagne.110 femmes filmĂ©es Ă  leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans qu’elles le sachent, plus d’une centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors qu’elles s’accroupissaient pour uriner dans la rue. 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Mais c’était dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ  par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ  tant que ces vidĂ©os continuent Ă  gĂ©nĂ©rer de l’argent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il n’y a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă  l’AFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă  aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire d’A Maruxaina, Ă  San Cibrao, en Galice nord-ouest de l’Espagne.110 femmes filmĂ©es Ă  leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans qu’elles le sachent, plus d’une centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors qu’elles s’accroupissaient pour uriner dans la rue. 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Mais c’était dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ  par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ  tant que ces vidĂ©os continuent Ă  gĂ©nĂ©rer de l’argent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il n’y a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă  l’AFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă  aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire d’A Maruxaina, Ă  San Cibrao, en Galice nord-ouest de l’Espagne.110 femmes filmĂ©es Ă  leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans qu’elles le sachent, plus d’une centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors qu’elles s’accroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi qu’au total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os d’une durĂ©e totale d’une heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă  trois endroits diffĂ©rents ». A l’étĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de l’intimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars d’ouvrir une enquĂȘte, estimant qu’aucun dĂ©lit n’avait Ă©tĂ© commis car il s’agit d’une sĂ©rie d’enregistrements de femmes urinant dans la rue, c’est-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par n’importe quelle personne qui passait par lĂ  », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par l’ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et n’a pas ouvert d’enquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de l’antenne locale de l’association Mujeres En Igualdad » qui s’est portĂ©e partie civile. Mais c’était dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ  par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ  tant que ces vidĂ©os continuent Ă  gĂ©nĂ©rer de l’argent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il n’y a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă  l’AFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă  aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire d’A Maruxaina, Ă  San Cibrao, en Galice nord-ouest de l’Espagne.110 femmes filmĂ©es Ă  leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans qu’elles le sachent, plus d’une centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors qu’elles s’accroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi qu’au total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os d’une durĂ©e totale d’une heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă  trois endroits diffĂ©rents ». A l’étĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de l’intimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars d’ouvrir une enquĂȘte, estimant qu’aucun dĂ©lit n’avait Ă©tĂ© commis car il s’agit d’une sĂ©rie d’enregistrements de femmes urinant dans la rue, c’est-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par n’importe quelle personne qui passait par lĂ  », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par l’ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et n’a pas ouvert d’enquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de l’antenne locale de l’association Mujeres En Igualdad » qui s’est portĂ©e partie civile. Mais c’était dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ  par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ  tant que ces vidĂ©os continuent Ă  gĂ©nĂ©rer de l’argent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il n’y a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă  l’AFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă  aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire d’A Maruxaina, Ă  San Cibrao, en Galice nord-ouest de l’Espagne.110 femmes filmĂ©es Ă  leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans qu’elles le sachent, plus d’une centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors qu’elles s’accroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi qu’au total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os d’une durĂ©e totale d’une heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă  trois endroits diffĂ©rents ». A l’étĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de l’intimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars d’ouvrir une enquĂȘte, estimant qu’aucun dĂ©lit n’avait Ă©tĂ© commis car il s’agit d’une sĂ©rie d’enregistrements de femmes urinant dans la rue, c’est-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par n’importe quelle personne qui passait par lĂ  », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par l’ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et n’a pas ouvert d’enquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de l’antenne locale de l’association Mujeres En Igualdad » qui s’est portĂ©e partie civile. Mais c’était dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ  par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices. On ne va pas en rester lĂ  tant que ces vidĂ©os continuent Ă  gĂ©nĂ©rer de l’argent, restent en ligne » mĂȘme si pour la justice, il n’y a pas de dĂ©lit », a affirmĂ© Ă  l’AFP Paloma Maseda Diaz, porte-parole des 87 plaignantes dans cette affaire qui remonte Ă  aoĂ»t 2019, lors de la fĂȘte populaire d’A Maruxaina, Ă  San Cibrao, en Galice nord-ouest de l’Espagne.110 femmes filmĂ©es Ă  leur insu, et une heure au total de vidĂ©os mises en ligneCet Ă©tĂ©-lĂ , sans qu’elles le sachent, plus d’une centaine de femmes, dont des mineures, ont Ă©tĂ© filmĂ©es alors qu’elles s’accroupissaient pour uriner dans la rue. Un an plus tard, un homme de la rĂ©gion Ă©tait tombĂ©, aprĂšs avoir cliquĂ© sur un lien contenant le nom de cette fĂȘte Maruxaina », sur un site pornographique contenant une vidĂ©o oĂč il a reconnu sa petite amie, ainsi que la cousine de celle-ci », a racontĂ© Paloma Maseda Diaz, qui a Ă©tĂ© elle-mĂȘme ainsi qu’au total plus de 110 femmes sur six vidĂ©os d’une durĂ©e totale d’une heure environ ont Ă©tĂ© identifiĂ©es sur divers sites X payants, a-t-elle plainte collective en 2020 La personne qui nous a filmĂ©es savait parfaitement oĂč placer les camĂ©ras », cinq en tout selon elle, positionnĂ©es dans le caniveau Ă  trois endroits diffĂ©rents ». A l’étĂ© 2020, une centaine de femmes ont dĂ©posĂ© une plainte collective pour violation de l’intimitĂ© » et commercialisation illicite de contenu pornographique ».Mais le tribunal local, situĂ© dans la ville voisine de Viveiro, a refusĂ© le 15 mars d’ouvrir une enquĂȘte, estimant qu’aucun dĂ©lit n’avait Ă©tĂ© commis car il s’agit d’une sĂ©rie d’enregistrements de femmes urinant dans la rue, c’est-Ă -dire, dans un lieu public oĂč elles pouvaient ĂȘtre vues par n’importe quelle personne qui passait par lĂ  », selon la dĂ©cision, consultĂ©e par l’ manifestation dimanche La justice a classĂ© le dossier et n’a pas ouvert d’enquĂȘte parce que cela a eu lieu sur la voie publique », a soulignĂ© pour sa part Mary Fraga, la prĂ©sidente de l’antenne locale de l’association Mujeres En Igualdad » qui s’est portĂ©e partie civile. Mais c’était dans une ruelle sans issue et les camĂ©ras avaient Ă©tĂ© installĂ©es lĂ  par prĂ©mĂ©ditation », a-t-elle plaignantes ont immĂ©diatement fait appel et organisĂ© dimanche une manifestation pour protester contre la dĂ©cision de justice. Plusieurs centaines de personnes y ont pris part, selon les organisatrices.

femme qui fait pipi dans sa couche